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Rencontre lecteurs - Page 2

  • Avis lecteurs, presse - extraits - "Un lit dans l'océan"

    • Dégusté comme une datte sucrée, un thé à la menthe pas loin en haut du Suquet, ce texte sensible (mais pas mièvre !) cristallise nos 5 sens : les goûts, les couleurs, les odeurs, les musiques, les cultures juives et musulmanes si proches. La délicatesse et la pudeur avec lesquelles l'auteur aborde des thèmes pourtant difficiles (les césures familiales, la maladie, la guerre...) font de cette lecture un incroyable voyage. (Nath2dragui - Site Babelio)

    • On a l'impression d'avoir les confidences d'un ami ou d'un frère… On se sent très proche du narrateur parce qu'il se livre avec naturel et sincérité, et on est nombreux à avoir mal à nos parents. (Yamina, lectrice)

    • La mémoire individuelle et collective est sans doute le thème central de ce récit écrit avec sensibilité et délicatesse. Il est question de la guerre d’Algérie, d’exode forcé, de nostalgie… 
    On retrouve dans ce roman des thèmes chers à André Cohen Aknin, écrivain et poète : l’attachement à l’Algérie, aux racines, aux traditions, la douleur d’avoir perdu sa sœur et le pays de son enfance. C’est le bilan d’une vie passée à comprendre son sens. C’est aussi le regard lumineux d’un poète qui apprécie le mélange des cultures et qui dresse un pont entre celles de l’Orient et de l’Occident…
    Récit à la fois intime, poétique et humaniste qui peut se lire à plusieurs niveaux. 
    Une mention spéciale pour le soin apporté par l’éditeur à la composition de cet ouvrage qui est aussi un bel objet. (Guy Masson, bibliothécaire)

    • Cette introspection tellement honnête a fait bouger en moi des souvenirs merveilleux et intimes. (Christiane, lectrice)

    • Ce livre est un acte d’amour. C’est comment libérer la vie là où elle est emprisonnée. (Laurent Dupuis. Radio France Alzheimer - Emission "Coup de pouce, coup de cœur")

    • Ah le beau livre ! la douce écriture... qui nous enveloppe chapitre après chapitre dans cette belle image de l'erouv, chapitres tissés les uns après les autres jusqu'à nous faire entrer dans cette demeure-là de l'intime que tu habites avec ta mère. Toi seul, elle seule, parfois vous deux, ainsi la vie, ainsi la mort... qui sait ? En tout cas, tu lui as fait un très très beau lit dans l'océan, un lit au parfum de la loubia… (Monique Domergue, poète)

    • Un très beau roman, tant par ce qu'il dit des relations fils-mère et des liens qui subsistent grâce à la cuisine, à la voix et aux mains, que par la langue dans laquelle c'est dit. (Catherine, lectrice)

    • Un plaidoyer pour les personnes atteintes de la maladie. Oui, il y a des problèmes, les odeurs d’urine et d’excréments, le temps qu’il faut prendre pour les soigner… Mais elles restent des personnes à part entière, qui conservent la vie ! (Tristan Bonhoure - Le Dauphiné libéré)

    • Un roman pour faire sonner les silences. Quand il vous lit un passage, vous y êtes là-bas, à Oran. "Il n'est pas utile d'avoir une quantité de mots. Les silences parfois, suffisent" souffle-t-il… En inventant des personnages, il invite "l'autre" à rentrer dans cet univers. Tandis que lui-même donne "sa" réponse au monde. (Flora Chaduc - Drôme Hebdo "Peuple libre")

    • Le style est poétique et très agréable à lire très agréable à lire. J'ai aimé votre livre; car c'est un hymne à la mère, aux mères, à la terre d'Algérie. C'est un appel à la vie… 
    (Nadia Agsous, écrivaine, journaliste)
    • Le livre d’André Cohen Aknin ouvre des horizons en citant abondamment des chants et des chanteuses aussi dont la plus connue est sans doute Reinette l’Oranaise ; en sorte que son « récit poétique » est aussi un récit musical, au sens où on parle par exemple de « comédie musicale » mais de façon plus secrète et plus intime. Reinette l’Oranaise était d’origine juive puisque fille d’un rabbin de Tiaret, de même Line Monty, dont l’auteur cite assez longuement les paroles, qui étaient un mélange de français et d’arabe :
    « Et on m’appelle l’Orientale
    La blonde au regard fatal… »
    … La mémoire absente de sa mère est finalement pour lui un moyen de retrouver des bribes de leur passé, commun ou séparé. Sans évoquer le témoignage trop écrasant de Proust, il apparaît que la mémoire obéit à des procédures qui n’ont rien de rationnel, et que peut-être même elle les fuit. 
    L’histoire de Juliette pourrait être une sorte de métaphore de ce qui s’est passé dans l’histoire de l’Algérie il y a quelques décennies, un engloutissement dont pourtant, sous une forme presque inaudible, on trouve ici ou là des remontées aussi saisissantes qu’inespérées. Le récit poétique d’André Cohen Aknin ne cherche pas à en faire la théorie, il n’en est que plus convaincant. 
    (Denise Brahimi, Lettre culturelle franco-maghrébine #57 - site de coup de soleil Rhône-Alpes)

    • Ça nous envoie loin dans la matrice… au-delà des étoiles, comme une mélopée orientale à te mettre le cœur en âme. (Juan Antonio Martinez, lecteur - Facebook)

    • La mère est la nourriture terrestre qui porte le parfum d'un pays, d'une histoire. En sa présence végétative, il entreprend un voyage au long cours où il lui faut vaincre des obstacles. Les odeurs, les goûts de la loubia et des plats des fêtes juives d'Algérie concrétisent le chemin sur lequel il entraîne le lecteur avec humour et gourmandise. L'apaisement vient avec le triomphe des sensations, des saveurs de l'enfance…
    La phrase est ajustée dans sa musicalité, souvent proche de l'oral, ce qui donne une présence physique au texte, une résonance vivante…
    On perçoit là tout l'intérêt d'André Cohen Aknin pour le théâtre, pour le métier au sens étymologique du mystère, du travail et de l'artisanat ; il a été menuisier…
    Roman de conciliation, de reconnaissance, d'harmonie. Roman d'amour donc. 
    (Geneviève Briot - Revue "A. Littérature Action" n° 11 juin - septembre 2021)

    • Ce livre est avant tout une invitation au voyage. Entre Orient et Occident, entre terre et mer, entre mère et fils, enfance et (…) vieillesse, entre rêve et réel…
    Il m’a surprise, saisie, désarçonnée, sans pour autant me lâcher.
    Un lit dans l’océan, c’est une curieuse traversée au cours de laquelle le lecteur respire le monde et la vie par petites touches. Des touches colorées et rapides qui créent une œuvre indéfinissable, insaisissable, quasi impressionniste.
    Mais entre les vagues, derrière la brume, se disent les silences, s’expriment et s’expansent la vie et l’amour entre deux êtres qui pourtant semblaient perdus à jamais.
    En dépit de l’Alzheimer de la mère, le fils recrée le lien en retournant dans les profondeurs.
    Une mère qui pousse un fils à une exploration olfactive, gustative et sonore, et l’embarque avec elle pour faire le plus beau des voyages, celui qui emmène vers l’autre et vers soi-même…
    (Anne-Marie, sur le site des éditions Parole)

    • Au-delà du magnifique portrait de Juliette, votre mère, c’est toute la profondeur, la complexité et les paradoxes d’une relation entre une mère qui a traversé les exils et les deuils et son fils. La mémoire, l’oubli, l’annulation du présent, l’énigme du silence et la lente traduction des signes, musique, bribes de mots… quel voyage vous nous livrez là…  (Marie-Claude Egry, écrivaine)

    • Un livre juste. (Haïm Korsia, Grand rabbin de France)

  • Des saveurs et des livres au Bazar de St Martin en Vercors

    "Des saveurs et des livres" au Bazar de St Martin en Vercors,
    par Geneviève Briot

    Du 6 au 12 août 2021 était organisé le Bazar de St Martin en Vercors, à l'initiative de la Cie Cyrène, avec Michel et Jacotte Fontaine : musique, théâtre, danse, lectures, film et chants au fil de la semaine sur le thème Le pain dans tous ses états.

    Nous les Colporteurs, André et Geneviève, avec Naïs, nous présentions une lecture Des Saveurs et des livres, un menu différent chaque jour. Nous étions dans la rue, sous le regard bienveillant de Raymond et Ginette, nos voisins de porte. Nous affichions des poésies comme d'autres accrochent leur lessive, montrant ainsi nos dessous les plus intimes, les poésies qui nous collent à la peau. Les cailloux peints et les tissus poèmes de Naïs montraient le chemin de la place jusqu'à nous.

    Nous présentions nos derniers ouvrages : Un lit dans l'océan, le lien entre une mère et son fils ponctué de saveurs orientales, D'azur et de feu où Josette l'héroïne croque la vie à belles dents.

    Ces extraits étaient ponctués de poèmes de Blaise Cendrars, Mahmoud Darwich, Guillevic, Pablo Neruda, François Cheng, Alain Borne, Paul Vincensini, Jean-Louis Novert et autres boulangers et pâtissiers des mots.

    Avec les Touaregs, nous avons fêté l'eau : "Annoncez que l'eau doit être partagée, annoncez-le à tous les peuples de la terre", tout en accueillant Omar Khayam venu de la Perse du XIIe siècle pour célébrer le vin.

    Notre table était ouverte à tous. Bernard Vandewièle est venu parler de son livre Brigitte l'œuvre à vif, Juan Antonio Martinez a slamé accompagné par Esteban au saxophone, Marie a chanté un poème de Victor Hugo, Cécile a dit La lionne de Jacques Prévert…

    Dans cette période de pandémie où nous avons été privés de lectures publiques, ce fut un plaisir de partager avec des personnes réellement présentes.

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  • Haïkus au collège

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    Les enfants d'une classe de 6e au collège des Maristes en promenade au Bois des Naix à Bourg de Péage ont saisi des éclats de nature et de poésie pour écrire des haïkus.

    Avec leurs enseignantes Mesdames Lemoine et Del Sarto, ils ont confectionné le papier sur lequel ils ont écrit leurs poèmes et fait une exposition.

    Ils nous ont invités à leur exposition.  Certains ont lu leur texte à voix haute puis ils nous ont posé des questions sur nos livres et notre écriture. Une rencontre ouverte sur le désir et le plaisir d'écrire.

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  • Lecture musicale "D'azur et de feu - sept visages de Josette Duc"

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    Lecture musicale à Lascours (Bouches-du-Rhône).

    Avec Pascal Delalée violoniste, Naïs lectrice, Geneviève auteure et narratrice. 

    Sur la terrasse ensoleillée se sont rassemblés une douzaine d'amis de Naïs. Vers le soir, il fait un peu moins chaud. Les places sont espacées pour cause de Covid 19. Les arbres et les plants de tomate font le décor.

    Les acteurs sont en blanc en accord avec la couverture du livre.

    Le violon de Pascal joue une impro où se profile un portrait de Josette Duc, sa vie libre et tumultueuse ; il fait émerger de la gravité d'où rejaillit la joie. C'est l'ouverture.

    Je n'ai plus qu'à être l'amie qui évoque la femme amoureuse, le premier amour pour Robert marié à la poésie. Alors Naïs lit les mots de René Guy Cadou qui les avaient réunis quand ils avaient dix-huit ans et qu'elle récitait encore par cœur 70 ans plus tard :

    Je t'attendais et tous les quais et toutes les routes 

    Ont retenti du pas brûlant qui s'en allait

    Vers toi que je portais déjà sur mes épaules 

    Comme une douce pluie qui ne sèche jamais » 

    Naïs lit les poèmes qui cheminent dans la vie de Josette, en particulier celui de Paul Eluard qui a donné le titre au livre :

    L'azur m'ayant abandonné, je fis un feu

    Elle lit les textes et les paroles de Josette avec ferveur et légèreté. Accordée, j'évoque les différents visages de notre héroïne, la désirante, la voyageuse, la femme blessée, la tisseuse de liens, la mystique. Pascal avec son violon insuffle un supplément d'âme.

    Puis nous sommes en Inde dans l'ashram du sage indien, Ramana Maharshi. Nous chantons le mantra de la montagne sacrée, accompagnées par le violon : 

    Arunachala a / a are om nama shivaya…

    Josette est avec nous. Louis un spectateur la voit à travers nous deux réunies.

    Quelques mots sur René son dernier amour. Pour conclure, Naïs lit trois vers de René Guy Cadou sur le thème musical de Josette : 

    Et pourtant c'était toi dans le clair de ma vie

    Ce grand tapage matinal qui m'éveillait

    Ces astres, ces millions d'astres qui se levaient.

    Quand le violon donne la note de fin, le long trajet de l'archet prolonge pour tous le sentiment ineffable d'avoir rencontré une femme exceptionnelle et qui, par certains côtés, nous ressemble.

    Geneviève

  • Vient de paraître

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    D'azur et de feu - Sept visages de Josette Duc

    Récit de Geneviève Briot et illustration de Jean-Luc Boiré.

    Edité par l'association Bleu 31, 2020

    On y évoque la vie d'une Romanaise, née à Châtillon St Jean en 1927 et décédée en 2019 à l'âge de 92 ans.

    Josette a épousé Robert Passas de Bourg-de-Péage en 1950. Robert était anarchiste, libertaire et poète ; Josette était anti-conventionnelle, spontanée, littéraire.

    Selon leur vœu le plus cher, ils deviennent instituteurs, d'abord au Maroc, puis dans la Drôme.

    Au fil du récit, on rencontre une femme aux sept visages : la désirante, l'amoureuse, la femme libre, la femme blessée, la voyageuse, la tisseuse de liens, la mystique.

    Une femme qui portait les valeurs de fraternité et de liberté des anarchistes.

    Une femme en quête de spiritualité sans pour autant appartenir à une religion.

    Une femme amoureuse. Josette a aimé d'amitié ou d'amour des gens hors du commun. Elle se souvenait avec émotion de sa passion amoureuse pour le vieil anarchiste libertaire Alexandre Marius Jacob. Elle en témoigna sur France Culture lors d'une émission consacrée à “cet honnête cambrioleur” qui était revenu en métropole après 23 ans de bagne. Dépourvu de jalousie, Robert, son mari, s'était réjoui : "Elle tomba dans l'hiver de Jacob comme une branche d'avril" a-t-il écrit. Marius avait alors 74 ans, elle 27. "L'amour n'a pas d'âge", disait-elle. Elle vivra son dernier amour à 80 ans, avec René qui l'accompagnera jusqu'à son dernier souffle.

    Geneviève Briot, auteur de romans, poésie, théâtre, a composé ce récit à partir d'entretiens qu'elle a eus avec Josette Duc, tout en y incluant des écrits de cette dernière.

    On  peut acheter le livre à Romans,  

    à la Papeterie Deval

    à la Librairie Les Cordeliers

    à la Librairie La Manufacture

    On peut également le commander à l’Association Bleu 31 en envoyant un chèque à l'adresse postale : Les Chapeliers Bât A - 5 rue du Sergent Bouchet 26300 Bourg-de-Péage

    18 € + 4,20 de frais de port

  • D'azur et de feu - Sept visages de Josette Duc

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    Une dynamique s'installe autour de la publication par "Bleu31" de la biographie de Josette Duc écrite par Geneviève Briot, avec Jean-Luc Boiré illustrateur, Colombe de Dieuleveult graphiste. 

    "L'amour fut la grande affaire de Josette Duc. Il y eut Robert, le mari anarchiste et poète, et aussi Alexandre Marius Jacob, "l'honnête cambrioleur ; d'autres amours ont ensuite enflammé cette femme de désir, gourmande de vie. Nourrie de poésie, libre par-dessus tout, elle cultive l'amitié et enseigne avec ferveur. Elle danse, chante, parcourt le monde, poussée par une curiosité insatiable, par son "goût des autres".  Le cœur sur la main et en quête de spiritualité, elle trace un chemin original.

    Geneviève Briot, sous une plume sobre et minutieuse, nous livre un récit fidèle aux entretiens qu'elle a eus avec Josette Duc."

    Vous pouvez souscrire dès maintenant pour aider à sa parution.
    Prix de l'ouvrage : 18€
    Frais de port pour chaque ouvrage : 4,20€
    Vous pouvez télécharger le bulletin de souscription et l'adresser ainsi que le règlement à l'adresse postale :
    Association BLEU 31, Les Chapeliers - Bât A - 5 rue du Sergent Bouchet - 26300 Bourg-de-Péage.
     
    Merci de transmettre l’information sur votre réseau.
     
  • Hors les murs - interview

    Dimanche 15 septembre, nous avons eu le plaisir de participer à “Hors les murs”, un événement organisé par Radio Méga et le village de Geyssans. Lors d’une interview, nous avons pu rappeler notre démarche poétique et dire quelques poèmes. Nous avons ensuite échangé au long de l'après-midi avec des visiteurs et même dit des textes à l'oreille…

    Radio Mega - André 15 sept 2019.jpg

     

    Interview :
    podcast

  • Parution "Un caillou qui pense oiseau"

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    Un caillou qui pense oiseau

    de Geneviève Briot

    aux Editions L'Autre incertain

    avec des encres de André Cohen Aknin

     

     

     

    "Le langage des arbres est une source
    où toujours nous retournons
    Arbres fougères ginkgo biloba
    cèdres du Lubéron venus de l'Atlas
    chênes robustes des forêts domaniales
    ils sont notre mémoire
    notre sang vivifiant
    nos voyages immobiles"

    Prochaines lectures :

    
• le dimanche 30 avril à 10h30 à la Librairie La Manufacture - Romans-sur-Isère - 
04 75 02 09 05


    • le jeudi 4 mai à 18 h à la Médiathèque Simone de Beauvoir à Romans-sur-Isère

    • lors du festival du Baz'art des mots les 14 et 15 juillet à Hauterives 04 75 68 95 40

    Des lectures chez l'habitant sont également prévues

    Une lectrice écrit :
    "Les pages du livre tournent toutes seules soulevées par un vent léger et envoûtant…Suivre les paysages où les pieds ne laissent pas d'empreintes, où les bruits font une haie d'honneur pour que passe le silence. Sentir le cœur de la terre battre sous l'écorce des arbres. Aborder des plages où une seule aube naissante raconte tous les matins du monde. André trace des encres tracées sur du blanc, du noir qui ne ment pas." Joëlle C.

    On peut se procurer "Un caillou qui pense oiseau" auprès des éditions L'Autre incertain Impasse Pâme - 22 rue Pêcherie - 26100 Romans-sur-Isère  06 80 92 08 85 - autreincertain@no.long.org
    au prix de 10 € + 3 € de port (si envoi)

    - à- à la Librairie La Manufacture, Place Maurice Faure à Romans-sur-Isère 26100
    - à la Librairie Les Cordeliers  7 Côte des Cordeliers à Romans-sur-Isère 26100
    - au Baz'art des mots à Hauterives 26390

  • Vin, peinture et poésie

    L'Association Bleu 31 a le plaisir de rendre compte de l'événement créé par les Éditions de L'Autre incertain dans les cales de la péniche Alizarine Quai Mistral à Valence le samedi  25 février 2017.
    L'Autre incertain y présentait une EXPOSITION de petits formats de Brigitte Nêmes. Cécile et Raphaël, les mariniers, transportent habituellement par voie fluviale vins et futailles du Nord au Sud et du Sud au Nord. L’an dernier, des tableaux de Brigitte sont revenus de Paris portés dans les entrailles de la péniche. Actuellement, contraints de rester à quai, ils offraient leur lieu selon un projet concocté de longue date. Vins et expression artistique ne sont-ils pas faits pour s'entendre ? Baudelaire a chanté cette union et avant lui Omar Khayam au XIe siècle.
     "Ce que je demande c'est un flacon de  vin en rubis, une œuvre de poésie,
    un instant de répit dans la vie et la moitié d'un pain
    Si avec cela je pouvais ami, demeurer près de toi, dans quelque lieu en ruines, ce serait un bonheur préférable à celui d'un sultan dans son royaume"
    Les tableaux de Brigitte sous les projecteurs laissaient éclater les couleurs et la fraîcheur d'expression de l'artiste.

    Dans ce décor, une LECTURE de poèmes extraits de Un caillou qui pense oiseau à paraître aux éditions l’Autre incertain était donnée par l'auteure Geneviève Briot, accompagnée de Bernard Vandewiele et de Maïa, une jeune violoncelliste.
    "Les mots sont sur la lisse
    prêts à être tissés
    Laines de l'amour
    du doute et de la sagesse
    le présent a couleur de la terre
    a tissage de la toile
    toujours inachevée"

    Cette lecture a été suivie du vernissage des peintures de Brigitte, qui a présenté ses tableaux avec une spontanéité et un humour réjouissants.
    Le plaisir des yeux, des oreilles et du cœur, un apéritif arrosé de vins de la région, ont créé ce moment de convivialité qui laisse trace en chacun des participants.

    Le dimanche 26 février, l'EXPOSITION de Brigitte Nêmes s'est poursuivie de 12 H 30 à 18 H 30
    À 16 H 30 Brigitte a réalisé une peinture sur le bateau.

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     Photo Annick ROUBINOWITZ]