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  • Paroles de lumière

    "Décidément

    La lumière

    La voici qui vient

    Inaugurer encore une fois

    Le sentier"     Guillevic 

    Avec Anne Juge, nous lirons le dimanche 2 juin à l'église St Étienne de Bathernay à 17h, en résonance avec l'installation picturale de Danielle Issanjou .

    Nos voix alterneront dans des textes scientifiques et poétiques, d'hier et de maintenant, d'ici et d'ailleurs, pour approcher la lumière, cette chose vitale qui nous environne et qui demeure insaisissable.

    "La lumière est aux peintres ce que le chant des mots est au poète, la mélodie du silence aux musiciens : la source et l'horizon de leur désir, le foyer de l'amour qui les lancine et les met perpétuellement en chemin, en tension, en appel." Sylvie Germain

    Cette lecture se donne lors du Festival "L'art et la matière" qui a lieu dans des églises et chapelles de la Drôme des Collines  du 1er au 16 juin 2013. 

    *

    André présentera sa lecture-récital de "le sourire de l'absente" le vendredi 7 juin dans la chapelle St Roch à Crépol à 19h30

    Geneviève et André

  • Lire en mai

    André a donné une lecture-récital de "Le sourire de l'absente" le 26 avril chez Coline à Crépol. Le chant s'est lié au texte pour lui donner plus d'ampleur. Ne dit-il pas : "je suis d'un pays où l'on parle au son du violon et de la derbouka l'écriture redevient voix sans frontières / résonne par moments le pilon de ma grand-mère cuisinière l'onde de son timbre court sous mes pas"

    Affiche-Lire-en-mai.jpg

     

    Nous présenterons nos livres au Salon de Nyons (Drôme) Lire en mai le samedi 11 mai et en particulier "Des cerises en hiver" et "Le sourire de l'absente" parus à l'automne.

    De nouveaux articles sont parus sur le site de Maif Magazine : http://www.maif.fr/livres


    Le sourire de l'absente d'André Cohen Aknin

    L’histoire qui se dévoile, au fil de textes brefs d’une grande force poétique, est celle de deux enfants dans le départ précipité de l’Algérie avec leur famille, et dans l’avenir de cette fuite… Lecteur, imaginez que, vous promenant sur un rivage de la Méditerranée, vous découvriez soudain une valise échouée là. Une valise en carton comme on n’en fait plus. Curieux à la fois de l’objet et de son contenu, vous l’ouvrez, et là, surprise ! De vieux papiers s’y trouvent… Intrigués, vous déchiffrez : des mots comme pris sur le vif, arrachés du cœur, surgissent. Alors, vous comprenez qu’on ne saurait pas grand-chose des gens de la Méditerranée, de tradition orale, tels Ulysse, si Homère ne l’avait conté. Lecteur, si André Cohen Aknin vous livre sa valise, c’est parce qu’Homère, c’est vous. (Extrait - Marie-France Moyns)

    Des cerises en hiver de Geneviève Briot

    Geneviève Briot nous livre trois destins de femmes, à partir de celui de l’ascendante Roberte, (Marguerite est son second prénom et c'est celui qui incarne ses désirs les plus profonds). Jeanne est-elle fille de Roberte, ou de Marguerite ? « La liberté est le rêve de soi. Chacun reçoit le sien en héritage venu de contrées mystérieuses », nous souffle l’auteure… La jeune Angela se questionne : « ma propre révolte s’est-elle nourrie de la résignation de celles qui m’ont précédée ? ».

    Geneviève Briot met en mots les contradictions et ambivalences  plus ou moins conscientes des femmes, filles de leur mère, petites filles de leurs grand-mères. Femmes d’hier dont les rêves contrariés sont aussi le terreau dans lequel poussent les fleurs de la liberté des femmes d’aujourd’hui. (Extrait - Marie-France Moyns)